L’Atopie textuelle
Un poème a été gravé sur quatre panneaux d’aluminium qu’on a ensuite percés de 476 trous, libérant autant de pièces circulaires, chacune avec un fragment de texte et une adresse URL. Remises à des participants, les pièces passent de main en main et leur trajet peut être suivi sur le Web. Après avoir circulé dans le monde, les pièces seront réinsérées pour que le poème, petit à petit, soit reconstitué.
Le collectif Les Causes perdues est chapeauté par l'artiste Alain-Martin Richard et l'architecte Martin Mainguy.